Sofie Labadie helps Caritas Uruguay with fundraising and volunteers in her spare time.

Credits: Caritas

Sofie Labadie collabore à la collecte de fonds de Caritas Uruguay et fait du bénévolat dans ses temps libres.

Je viens de terminer ma thèse en psychologie et je travaille auprès d’enfants qui ont des difficultés d’apprentissage. Et je vais bientôt me marier ! Tout cela m’aide dans mon développement personnel et professionnel, mais pour l’épanouissement de mon cœur, je m’en remets à Caritas.

J’ai commencé à collaborer avec Caritas Uruguay au début de 2009. Chaque année, les membres du personnel invitent des gens qui sont désireux de travailler avec eux à venir les rencontrer et à leur parler. Quand je suis allée à la rencontre, ils ont abordé leur travail et leur organisation et une voix intérieure m’a dit que je devrais leur prêter main-forte.

Au début, j’ai fait les activités de toutes sortes qui m’étaient assignées. Au fur et à mesure que j’avançais dans ma formation, je me suis spécialisée dans le secteur des bénévoles et des dons. Ces deux aspects revêtent une grande importance pour Caritas Uruguay, car sans cela, ils ne pourraient pas mener à bien leur mission d’accompagner les personnes pauvres et vulnérables.

Normalement, je commence ma journée en répondant aux courriels de personnes qui nous ont offert des dons. Les gens veulent nous envoyer toutes sortes de choses : vêtements, meubles et objets dont ils ne se servent plus. Caritas Uruguay ne compte pas seulement sur les dons de particuliers, mais elle encourage également les entreprises à faire preuve de responsabilité sociale.

Nous coordonnons les dons reçus et nous les acheminons aux personnes qui en ont le plus besoin. Nous aidons toutes sortes de personnes de diverses manières. Nous donnons des conseils et de l’appui aux détenus et nous les aidons à réintégrer la société une fois qu’ils sont libérés. Nous venons en aide à des femmes victimes de violence. Nous aidons des toxicomanes à s’affranchir de leur dépendance, et bien d’autres choses encore.

Dans mon travail, il est important que je réponde sans tarder aux personnes qui ont besoin d’aide ou qui souhaitent faire un don. Nous nous efforçons d’être aussi positifs que possible et d’exprimer notre reconnaissance. Nous sommes chaleureux et nous offrons un service personnalisé. Nous voulons qu’ils aient toute confiance en ce que nous avons à offrir, et qu’ils nous voient comme un modèle d’engagement social et des valeurs chrétiennes.

Nous travaillons avec acharnement pour élargir notre équipe de bénévoles. Ceux qui nous donnent de leur temps sont chargés de toutes sortes de tâches. Ils peuvent offrir des conseils juridiques ou financiers à des personnes en difficulté, prêter appui à des écoles ou épauler des groupes défavorisés dans des quartiers pauvres.

Si Caritas est reconnue à l’échelon national et international, nous avons découvert que ce sont les jeunes qui nous connaissent le moins. Nous nous efforçons de changer cela, afin qu’ils s’intéressent à notre travail et, nous l’espérons, décident de se joindre à nous.

Ce que j’aime de Caritas, c’est la chaleur et l’amitié qui règnent dans notre bureau. Les gens sont heureux, malgré les difficultés auxquelles nous faisons face parfois, et la plus petite réussite est une occasion de célébrer. Il y règne une atmosphère véritablement empreinte d’ouverture, de joie, de dévouement, de force et de résilience.