Caritas Nigeria a déclaré : «Notre compassion va aux filles enlevées et à leurs familles.
Suite à l’effondrement de l'état de droit et aux violences généralisées, 600 000 personnes ont été forcées de quitter leur maison dans le pays.
Monseigneur Macram Max Gassis, évêque émérite du diocèse d’El Obeid, a fermement condamné les bombardements qui ont ciblé délibérément l’hôpital catholique Mère de la Miséricorde dans les monts Nouba, dans l’État du Sud-Kordofan, au Soudan, les 1er et 2 mai.
Plus d'un demi-million de Syriens qui ont fui la guerre se sont réfugiés en Jordanie. Caritas Jordanie a assisté plus de 217 000 personnes.
La pluie devrait continuer pendant encore trois mois, ce qui expose les familles présentes ici aux risques d’inondation et de propagation de maladies.
Dans une déclaration publique à la suite de ce meurtre, l’Archevêque Dieudonné Nzapalainga, dirigeant de Caritas RCA, a dit : « Nous dénonçons et condamnons ces actes barbares venus d’un autre âge. »
L’évêque Nestor Azagbya Nongo de Bossangoa et trois prêtres diocésains ont été kidnappés le 16 avril à Batangafo. Les gardiens de la paix de l’Union africaine (Misca) ont arrêté un convoi d’ex-Sélékas alors qu’il se dirigeait vers le Tchad avec à son bord les hommes kidnappés.
« Vous me demandez ce que je fais à Pâques ? Comment est-ce qu’une personne seule pourrait célébrer ?»
La famine est un spectre qui plane sur cette région depuis que la frontière a été verrouillée par l’armée soudanaise.
La sensation de marcher librement dans Bossangoa est très forte. Si elle l’est pour moi, un photographe qui n’ai passé que 3 jours dans cette ville enclavée, il y a 4 mois, je n’ose pas imaginer ce que cela représente pour les habitants de cette ville, pour ceux qui y sont nés et qui viennent d’y passer 6 mois prisonniers.