Le problème de l’eau est une grosse préoccupation pour de nombreuses communautés avec lesquelles Caritas s’est entretenue. Dans la première communauté que nous avons vue, à Thokarpa, ni l’école ni le poste de santé n’étaient approvisionnés en eau.
En revenant ce matin de l’aéroport de Katmandou j’ai pu voir les zones touchées par le tremblement de terre de l’année dernière. Je suis venu au Népal pour participer à la conférence de solidarité organisée par Caritas à l’occasion du premier anniversaire de cette catastrophe. En regardant le paysage, je pouvais presque y constater les blessures subies par Notre Mère la Terre.
Je suis étonné par la résilience dont font preuve les personnes que j’ai rencontré. L’expression Népalaise “Ké Karné ?” qui peut se traduire “Que faire, c’est ainsi !”
Caritas va investir 36,4 millions d’euros au cours des trois prochaines années dans l’aide aux survivants du séisme au Népal, séisme qui s’est produit il y a maintenant un an. L’attention de la confédération mondiale se concentrera sur la fourniture d’habitats de qualité.
Le tremblement de terre qui a dévasté les communautés du centre du Népal le 25 avril 2016 n’a pas seulement réduit en miette la maison de Kumari Gurgung à Hansapur, mais a aussi ruiné son commerce.
Thiramaya a 103 ans et vit à Thokarpa-7, Sindhupalchowk. Tout à coup, elle a entendu un son très fort et elle a tout d’abord cru que c’était un hélicoptère qui volait très bas au-dessus de sa maison – ce qui sortait de l’ordinaire.
Les organisations confessionnelles couvrent une large gamme d’intervenants, allant des congrégations aux sociétés locales de bienfaisance, des organisations à but non lucratif à des réseaux internationaux complexes.
Pour Kamala, une Dalit, l’aide est venue au lieu de cela de la minuscule minorité de 8000 catholiques du Népal.
Trois mois après le séisme dévastateur qui a frappé le Népal, Caritas Népal apporte l’aide vitale aux communautés les plus reculées du pays, avant que les pluies de mousson ne s’intensifient.
Les équipes de Caritas Népal continuent à s’engager avec le plus total dévouement, dans des conditions extrêmement difficiles, pour pouvoir apporter aux communautés telles que celles de Rumba et Waiba des fournitures de base avant l’arrivée de la mousson.