Plus de 1,2 million de Syriens ont cherché asile au Liban depuis que le conflit a éclaté en 2011. Malak et Sabah sont 2 des 486 enfants réfugiés de Syrie à avoir participé à une étude menée par le Centre des Migrants de Caritas Liban (CLMC). Cette enquête visait à déterminer l’impact de la crise sur la santé mentale et le bien-être des enfants déplacés.
Caritas, les dirigeants d’organisations humanitaires et d’organismes humanitaires des Nations Unies, appelons non seulement les gouvernements mais aussi chacun d’entre vous, citoyens du monde entier, à élever votre voix pour mettre fin à ce carnage.
Modar travaillait chez Caritas Syrie, où il aidait les personnes fuyant la guerre. Quand la vie s’est faite trop dangereuse, il est parti pour l’Europe. Il décrit son travail, son long périple qui l’a amené à finir réfugié.
Le 1er janvier 2016, le président de Caritas Syrie, l’évêque Antoine Audo d’Alep a dit : « Nous ne voulons pas de pain, nous voulons la paix ! Oui à la paix comme condition de vie. »
Des milliers de personnes arrivent chaque jour à Lesbos. Ils font partie d’une vague d’au moins 430 000 réfugiés et migrants à avoir traversé la mer Méditerranée pour rejoindre l’Europe dans des bateaux de fortune mis à disposition par des passeurs.
Cette année, 200 000 personnes ont déjà transité par l’île grecque de Lesbos, épicentre de l’actuelle crise des migrants et des réfugiés, en raison de sa proximité avec la Turquie.
Quel est le rôle des standards Sphère ? Comme l'explique Rita Rhayem de Caritas Liban : « Dans un pays habitué aux crises comme le Liban et au sein d'une organisation comme Caritas qui, de par sa longue expérience, dispose déjà du savoir-faire nécessaire, on se retrouve souvent à former des personnes qui savent déjà gérer les situations d'urgence. »
Le président de Caritas Syrie, Mgr Antoine Audo, dit : « Nous sommes très inquiets à propos de ce qui est en train de se passer dans la région du Djézireh, et en particulier dans la ville d’Hassaké, où les bombardements ont forcé les familles à fuir. »
L’équipe de Caritas Turquie rapporte que le dernier afflux de réfugiés essentiellement syriens affrontent des conditions très rudes alors qu’ils attendent soit de l’aide, soit de rentrer en Syrie.
La Jordanie a accueilli 1.4 millions de Syriens, 500.000 Irakiens et 500.000 Palestiniens, outre 35.000 Yéménites. Caritas leur apporte de la nourriture, des abris, des soins médicaux, une assistance psychologique et scolaire, outre d’autres types d’aide. Les chiffres sont accablants, mais chaque réfugié aidé est une victoire.