Caritas Djibouti reçoit un grand nombre d’enfants dans un circuit scolaire de base et un petit groupe d’adolescents dans une école professionnelle où ils peuvent apprendre un métier.
Ce 8 février, jour de sa fête, la population se joint à la prière et à la réflexion pour la première Journée mondiale contre la traite des êtes humains.
À l’occasion de la Journée mondiale des migrants, Caritas incite les gouvernements à faire que les besoins des enfants migrants non accompagnés soient pour eux une priorité et à augmenter les possibilités de travail pour les jeunes dans les pays d’origine.
Caritas soutient la Convention internationale des droits de l’enfant, qui est un traité clé pour assurer les droits de l’enfant dans le monde entier.
À l’occasion du 25e anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) le 20 novembre, Caritas Internationalis dit qu’il faut en faire davantage pour protéger les enfants migrants, et en particulier ceux qui voyagent seuls.
Les projets de Caritas dans le monde travaillent pour veiller à ce que les droits fondamentaux des enfants soient protégés, afin que les enfants puissent grandir et s’épanouir.
COERR, le Bureau Catholique pour les secours d’urgence et les réfugiés, travaille dans les camps de réfugiés le long de la frontière ente la Thaïlande et la Birmanie. Plus de 120.000 personnes en provenance de la Birmanie vivent dans ces camps.
COERR vient en aide à environ 10.000 réfugiés et travaille dans les neuf camps, en particulier en faveur des enfants qui vivent seuls ou avec d’autres membres de leur famille, sont orphelins ou se trouvent dans toute autre situation de vulnérabilité.
Antonillo Jimenez est un expert des questions liées à la migration infantile, qui enseigne aux Universités de Huelva et de Séville, en Espagne. Il nous parle ici de ce qui peut être fait pour minimiser les risques pour les enfants migrants du Maroc.
Caritas soutient la Campagne Mondiale pour en finir avec la détention des enfants. Leeanne Torpey, de la Coalition internationale sur la détention, explique sur un blog pourquoi le monde doit protéger les enfants qui sont emprisonnés sans aucune autre raison que celle d’être des migrants.