Le 1er janvier 2016, le président de Caritas Syrie, l’évêque Antoine Audo d’Alep a dit : « Nous ne voulons pas de pain, nous voulons la paix ! Oui à la paix comme condition de vie. »
«Tout le monde a vu les images à la télévision, et pourtant c’est un choc lorsque vous voyez la crise des réfugiés avec vos propres yeux », a déclaré le Cardinal Tagle de Manille après avoir visité avec Caritas un camp de transit pour migrants et réfugiés à Idomeni...
Les volontaires Caritas de la paroisse de Bapska vont aider au poste frontière. Là-bas, ils distribuent des vêtements chauds, du pain et du jambon, des paquets de nourriture, des biscuits, de l’eau et du thé.
Ana Zivkovic est un agent en charge des communications auprès de Caritas Serbie. Elle explique quels sont les services fournis par Caritas Serbie aux réfugiés, les défis à relever et son sentiment personnel face à leur situation.
Des milliers de personnes arrivent chaque jour à Lesbos. Ils font partie d’une vague d’au moins 430 000 réfugiés et migrants à avoir traversé la mer Méditerranée pour rejoindre l’Europe dans des bateaux de fortune mis à disposition par des passeurs.
Caritas Internationalis en appelle aux gouvernements, aux communautés et aux personnes de bonne volonté pour qu’ils accueillent les réfugiés tout en faisant de la paix dans leur pays d’origine une question prioritaire.
Une des nombreuses choses qui se retrouvent délaissées quand une famille est déracinée par la guerre, c’est l’éducation. La non scolarisation durant un longue période a des effets à long terme sur la vie et les possibilités d’un enfant qui peuvent se révéler dévastateurs.
Quel est le rôle des standards Sphère ? Comme l'explique Rita Rhayem de Caritas Liban : « Dans un pays habitué aux crises comme le Liban et au sein d'une organisation comme Caritas qui, de par sa longue expérience, dispose déjà du savoir-faire nécessaire, on se retrouve souvent à former des personnes qui savent déjà gérer les situations d'urgence. »
Le président de Caritas Syrie, Mgr Antoine Audo, dit : « Nous sommes très inquiets à propos de ce qui est en train de se passer dans la région du Djézireh, et en particulier dans la ville d’Hassaké, où les bombardements ont forcé les familles à fuir. »
L’équipe de Caritas Turquie rapporte que le dernier afflux de réfugiés essentiellement syriens affrontent des conditions très rudes alors qu’ils attendent soit de l’aide, soit de rentrer en Syrie.