Pour les 3,8 millions de Syriens qui vivent en réfugiés hors de leur pays, la situation ne s’est pas améliorée.
En Jordanie, les réfugiés syriens sont en majorité musulmans. Ils proviennent du sud de la Syrie essentiellement rural ; des familles nombreuses, très attachées aux traditions ; les femmes sont voilées, soumises.
Les Syriens et les Irakiens qui luttaient déjà pour s’en sortir face à la guerre dans leurs propres pays ou en tant que réfugiés se retrouvent à présent confrontés à des conditions météo glaciales.
Une tempête de neige a recouvert d’un blanc manteau une grande partie du Moyen-Orient, obligeant les réfugiés à se réchauffer de leur mieux dans leurs abris de fortune.
Un message de Noël de Monseigneur Antoine Audo, Evêque chaldéen d’Alep et Président de Caritas Syrie.
La Jordanie n’en peut plus d’accueillir les réfugiés des pays voisins. Dans ce pays assoiffé qui manque cruellement d’eau, des camion-citerne, se dirigent tous les jours vers les camps.
En Jordanie, les réfugiés syriens sont en majorité musulmans. Ils proviennent du sud de la Syrie essentiellement rural ; des familles nombreuses, très attachées aux traditions ; les femmes sont voilées, soumises.
Des douzaines d’obus continuent de pleuvoir chaque jour sur les villages, villes et cités de Syrie, provoquant chaque jour morts et blessures. Les combats font rage entre le gouvernement, les forces de l’opposition et ceux qu’on appelle les militants de l’« état islamique », qui contrôlent de grandes parties du territoire.
La fuite des syriens et des irakiens, en raison des conflits qui frappent ces pays, a un impact considérable sur les pays voisins.
Caritas soutient la Convention internationale des droits de l’enfant, qui est un traité clé pour assurer les droits de l’enfant dans le monde entier.