Au Libéria, le temps des rues désertes est terminé, quand, au pic de l'épidémie d'Ébola, le silence n’était rompu que par les sirènes des ambulances filant vers les derniers cas suspects.
Les programmes de Caritas vont continuer jusqu’à ce que l’épidémie d’Ebola soit définitivement anéantie - et bien au-delà.
A l’occasion de la Journée de la couverture maladie universelle, Caritas veut réaffirmer son appel pour qu’une plus grande attention soit prêtée à la santé, qui constitue une question politique transversale importante dans l’ordre du jour international : la santé est une condition préalable, un résultat et un indicateur du développement durable.
Nous pouvons « combler l’écart » en passant outre nos tendances innées à blâmer les autres pour leurs conditions de pauvreté, de marginalisation, ou même d’infection au VIH.
Depuis le début de la crise de l’Ebola, Caritas a travaillé avec les gouvernements locaux, des chefs religieux et l’Organisation Mondiale de la Santé pour s’assurer que les familles des victimes de l’Ebola se sentent respectées.
Saluer des amis sans embrassade, attendre que des parents émergent de la quarantaine, appeler une ambulance qui n'arrive jamais – voilà ce à quoi ressemble la vie quotidienne au Sierra Leone, alors que l'Ébola ravage ce pays d'Afrique de l'Ouest.
The La Fondation Mondiale du Cacao (WCF) a annoncé le versement d’une donation de $600.000 afin d’appuyer les soins et les efforts de prévention relatifs à l’Ebola éployés en Afrique Occidental
C’est un pays qui vient de sortir la tête de l’eau après des années de conflit et de guerre, et qui doit maintenant faire la « guerre » à l’Ebola. Il y a une impression générale de traumatisme psychologique et de colère parmi la population.
Alors que l’Ebola se répand à travers l’Afrique de l’Ouest, même les personnes saines souffrent des retombées économiques de la maladie.
Caritas en premiere ligne dans la crise de du virus ebola en Afrique. Caritas est proche de ceux qui sont particulièrement à risque : « le personnel des restaurants, les chauffeurs de taxi, le personnel hôtelier, les marchés, les endroits où les gens se rassemblent », dit John-Bull.