La guerre s’est déclarée dans la région de Dmitry au printemps 2014. Tout d’un coup des milices prorusses bien armées étaient partout.
Les conditions de vie sur la ligne de front en Ukraine sont mauvaisse, sans chauffage, sans emploi et sans nourriture ni médicament.
Pour Ira, la lutte n’a pas été aussi simple que ça. Son mari Vitaly est gravement handicapé. Il est incapable de se déplacer. Son père Nikolai est aveugle. « Ils ne voulaient pas partir », dit-elle. « Et je ne savais pas comment les tirer de là. »
Environ 1,5 millions d’Ukrainiens ont été déracinés par la guerre dans l’est du pays. Des gens qui avaient leur maison et leur emploi se retrouvent entassés dans une ou deux petites pièces et sont largement tributaires de l’aide pour vivre.
Nadiya, 55 ans, dont le nom signifie «espoir », se retrouve piégée dans un conflit qu’elle avoue n’avoir jamais vu venir.
En Russie occidentale, les membres Caritas diocésains aident les mères et les enfants qui ont fui d’Ukraine. Caritas Sud de la Russie (Diocèse de Saratov) lance maintenant un appel de 90 000 euros pour répondre à l’afflux de réfugiés.
Caritas Ukraine met en œuvre 5 projets d'aide de grande envergure dans le pays pour pourvoir aux besoins des familles déplacées et aux blessés.
L'inquiétude grandit face aux troubles meurtriers qui persistent en Ukraine. Depuis novembre, les manifestants et la police se sont affrontés à plusieurs reprises. Ces derniers jours, les violences ont augmenté dans la capitale, Kiev, et dans tout le pays.
Olga avait laissé ses trois enfants en Ukraine pour aller chercher un travail en Belgique. Quand elle s’est rendu compte qu’elle avait des possibilités de rentrer en Ukraine et de créer une entreprise dans sa ville d’origine, elle s’est adressée à Caritas. Le programme de rapatriement de Caritas Belgique aide les personnes qui retournent dans ...