Travailleurs domestiques

Les travailleurs domestiques n’obtiennent pas souvent un contrat juste – surtout s’ils ne travaillent pas dans leur pays d’origine.

Les femmes, les hommes, et les enfants souffrent souvent de maltraitance physique et verbale quand ils ne sont protégés par aucune véritable loi. Ils peuvent se voir refuser tout congé, ou même travailler sans limite d’heures. Leur droit à un salaire minimum ou aux systèmes sociaux leur sont souvent refusés. Certains employeurs cruels retiennent leur salaire et leur passeport.

Caritas a fait grandement pression pour l’adoption le 16 juin 2011 de la « Convention concernant le travail décent pour les travailleuses et les travailleurs domestiques » de l’Organisation internationale du travail. Cela marque un changement considérable pour la protection des travailleurs domestiques du monde entier, en reconnaissant que leur travail existe au même titre que tout autre. En ratifiant la Convention, les gouvernements acceptent des mesures importantes pour les protéger, réglementer les agences d’emploi privées, et empêcher l’exploitation des mineurs.

Caritas s’est désormais unie à la campagne de la Confédération syndicale internationale, qui pousse pour que la Convention soit appliquée.

Les nouvelles de Caritas sur les travailleurs domestiques

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Le travail de Caritas sur la migration
Caritas s’attaque directement aux questions sur la migration. Son travail consiste à conseiller et à protéger tous les migrants – hommes, femmes et enfants – pour empêcher le trafic et les mauvais traitements. Caritas milite pour les droits des travailleurs domestiques – qui sont souvent des migrants – et pour une protection juridique adéquate de tous ceux qui migrent pour trouver du travail et pour être en sécurité. En savoir plus.
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