Caritas presse les gouvernements à augmenter leurs efforts pour protéger la dignité et les droits des personnes victimes de la traite, à l’occasion de la toute première Journée mondiale sur la traite de personnes (le 30 juillet).
Le Maroc était un ‘pays de transit’ pour les migrants, un pays qu’ils traversaient en allant en Europe. Aujourd’hui, ils sont de plus en plus nombreux à s'y installer. L'Europe veut que le Maroc soit un ‘gardien’ des migrants pour que ceux-ci restent dans le pays.
Trop nombreux sont toutefois les pays, européens ou non européens, où les enfants sont encore détenus du simple fait d’avoir demandé une protection internationale ou d’être sur un territoire sans autorisation.
Caritas fournit des vêtements, des leçons d’italien et de géographie et un peu de nourriture. Les migrants sont censés rester dans le centre seulement quelques jours, mais l’Italie se bat pour trouver des hébergements de plus longue durée, vu leur afflux ces derniers temps.
La situation de pauvreté extrême, les conflits armés, l'accès limité aux moyens de développement et, dans certains cas, la pression de la famille poussent un nombre de plus en plus important d’enfants et d’adolescents d'Amérique centrale à emprunter les couloirs migratoires, dans l'espoir de franchir la frontière avec les États-Unis, ou à tenter leur chance au Mexique.
Des problèmes tels que le travail des enfants, l’abus sexuel à leur encontre, le mariage précoce et les enfants de la rue sont endémiques au Népal, et sont tous liés au problème de la migration des enfants.
Trois frères syro-arméniens, Eli, Joseph et Gabriel, ont vu leur vie déchirée quand leur mère et leur père ont décidé de se séparer. Il n’y avait de place pour eux dans aucune des nouvelles vies de leurs parents, et c’est ainsi qu’ils ont fini dans un orphelinat arménien d’Alep.
La fin d’une année civile et le début d’une nouvelle sont particulièrement marquants pour les personnes vivant dans la précarité ou au bord de la vie sociale.
Le travail des enfants est souvent caché à notre vue : les enfants font de longues journées de travail mal rémunéré, parfois dangereux, dans les ateliers de misère, les mines et les plantations. Mais parfois, ils travaillent à la vue de tous.