Devant l'urgence humanitaire, Caritas MONA lance un appel d’urgence maximale au gouvernement libanais, ainsi qu’à l’ONU, au Saint-Siège et aux gouvernements et organisations internationales.
Après les explosions du 4 août dans la zone portuaire de Beyrouth, l’aide de Caritas Liban a été cruciale pour soutenir la population d’un pays en proie à une crise à la fois économique et politique dévastatrice et à la pandémie de Covid-19.
Les très grandes explosions d'hier ont infligé une nouvelle blessure à un Liban déjà épuisé par la crise économique et la pandémie de Covid-19
Caritas estime que personne ne doit être laissé de côté. Nos organisations nationales dans les pays touchés intensifient leurs efforts pour sensibiliser, prévenir et fournir une assistance à ceux qui sont aux prises avec le coronavirus.
La bataille d'Alep a commencé à la mi-2012. Les combats ont pris fin en décembre 2016, lorsque le gouvernement a repris le contrôle de la totalité de la ville syrienne, qui avait été coupée en deux. Un an après la fin des hostilités, les familles sont en train de reconstruire leurs vies.
Le pape François exhorte les gouvernements à trouver une solution politique à la guerre en Syrie, dans le cadre de la campagne de Caritas « Syrie : la paix est possible ».
Le cardinal Luis Antonio Tagle, président de Caritas Internationalis et archevêque de Manille, a visité des projets de Caritas pour les migrants durant son voyage au Liban du 28 février au 2 mars.
Le Président de Caritas Internationalis, le Cardinal Luis Antonio Tagle, s’est rendu dans un camp de réfugiés au Liban en février 2016.
Le CLMC a interviewé 288 familles de réfugiés syriens à Beyrouth, Tripoli et Saïda pour son étude. D’après les conclusions, les familles de réfugiés payaient en moyenne 262 euros de loyer et elles étaient obligées de dépenser en moyenne les trois quarts (76 %) de leur revenu total en loyer.
Plus de 1,2 million de Syriens ont cherché asile au Liban depuis que le conflit a éclaté en 2011. Malak et Sabah sont 2 des 486 enfants réfugiés de Syrie à avoir participé à une étude menée par le Centre des Migrants de Caritas Liban (CLMC). Cette enquête visait à déterminer l’impact de la crise sur la santé mentale et le bien-être des enfants déplacés.